A et à
Comment faites-vous pour distinguer le verbe avoir a de la préposition à? Notre suggestion, vous changez a par avait. Si cela fonctionne sur le plan du sens, vous écrivez a. Sinon, vous écrivez à.
Prenez l’exemple suivant :
C’est Sébastien qui a raison.
C’est Sébastien qui avait raison. Cela fonctionne. Donc, vous écrirez a et non à.
Exercice
Dans les phrases suivantes, trouvez le bon homonyme à écrire : a ou à.
- La bonne réponse est « à ». Il ne s’agit pas du verbe avoir, mais bien de la préposition à. « Vous irez avait* Windsor en avion » est impossible. Vous irez
aà Windsor en avion. - La bonne réponse est « à ». Il ne s’agit pas du verbe avoir, mais bien de la préposition à. « Je me prépare avait* partir » est impossible. Je me prépare
aà partir. - La bonne réponse est « a ». Il s’agit bien du verbe avoir. « Il se demande si France avait* toutes les compétences exigées » est possible. Il se demande si France a
àtoutes les compétences exigées. - La bonne réponse est « a ». Il s’agit bien du verbe avoir. « Tous les soirs, Lucie avait des cours de chant » est possible. Tous les soirs, Lucie a
àdes cours de chant. - La bonne réponse est « a ». Il s’agit bien du verbe avoir. « Mon automobile avait de très beaux sièges rouges » est possible. Mon automobile a
àde très beaux sièges rouges. - La bonne réponse est « à ». Il ne s’agit pas du verbe avoir, mais bien de la préposition à. « Songe avait* ton avenir » est impossible. Songe
aà ton avenir. - La bonne réponse est « à ». Il ne s’agit pas du verbe avoir, mais bien de la préposition à. « Comment peut-elle arriver avait* faire » est impossible.
La bonne réponse est « à ». Il ne s’agit pas du verbe avoir, mais bien de la préposition à. « tant de mal avait* tant de personnes? » est impossible. Comment peut-elle arriveraà faire tant de malaà tant de personnes? - La bonne réponse est « à ». Il ne s’agit pas du verbe avoir, mais bien de la préposition à. « C’est qu’elle ne pense qu’avait* elle » est impossible. C’est qu’elle ne pense qu’
aà elle. - La bonne réponse est « a ». Il s’agit donc bien du verbe avoir. « Même s’il ne veut pas le croire, Luc avait besoin de ses amis » est possible. Même s’il ne veut pas le croire, Luc a
àbesoin de ses amis. - La bonne réponse est « à ». Il ne s’agit donc pas du verbe avoir, mais bien de la préposition à. « Tu dois parler avait* Vincent dès demain » est impossible. Tu dois parler
aà Vincent dès demain.
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